La Vérité de la Victoire – Entré du Soleil en Scorpion

Alors que le Soleil entre dans le signe du Scorpion, nous traitons aujourd’hui de la Vérité de la Victoire [i]

Sur le plan archétypal, le Scorpion représente, par le combat, la lutte, les épreuves, la victoire de la Lumière sur les ombres. C’est une énergie de révélation et de régénération, de transformation et d’élévation de la conscience qui amène à percevoir et à toucher ce qui est caché derrière les apparences, et à le mettre en lumière. Le but de ce signe est donc l’évolution de la conscience et au niveau de l’âme.

« La sombre nuit de l’âme devient le soleil radieux. » (A. A. Bailey- Astrologie ésotérique [16@339])

 « La note-clé du Scorpion est toutefois le Triomphe… Tel est le résultat et la récompense de l’expérience dans le Scorpion. » (A. A. Bailey- Astrologie ésotérique [16@208])

 Je suis le Guerrier et je sors triomphant de la Bataille

[i] En réponse à l’Accord de l’année, 6.1 Ésotérisme de la Nouvelle Religion Mondiale » dont la Formule vers 2025 est : J’appelle à la Vérité centrale, nous traitons aujourd’hui de la Vérité de.

Qui triomphe ? La forme ou le Christ, le Soi supérieur ou le soi inférieur, le réel ou l’irréel, le vrai ou l’illusion. La victoire n’est-elle pas le triomphe de la conscience christique, de l’esprit, de l’amour, de la lumière qui nous conduisent vers l’ère de l’humanité une ?

Comment parvenir à la Victoire ? Par la transmutation, qui, d’un point de vue occulte, est le passage d’un état à un autre par le moyen du feu, qui est aussi libération de l’essence.

« Transmutation : Méthode par laquelle ce qui est inférieur est absorbé par ce qui est supérieur, par laquelle la force est transmuée en énergie, l’énergie des trois centres inférieurs est élevée jusqu’aux trois centres supérieurs (la tête, le cœur et la gorge) et qui permet plus tard à l’initié de centraliser toutes les énergies dans les trois centres directeurs de la tête. Ce processus de transmutation se fait sous la pression de l’expérience de la vie quotidienne, sous l’effet magnétique du contact de l’âme, et en tant que résultat inévitable de l’évolution même. » (A.A. Bailey – Les Rayons et les Initiations [18@279]).

« Un élargissement de la conscience apportera la puissance de la Victoire. » (E. Roerich – Lettres I – lettre 15 -17 décembre 1930)

La Victoire s’acquiert étapes par étapes. Nous en avons un exemple avec Hercule dont le travail symbolique sur le sentier du discipulat nous est raconté par A.A. Bailey dans « Les Travaux d’Hercule », une allégorie des travaux de tous les disciples sur leur chemin évolutif.

 « Le discipulat peut être défini comme étant le stade final du Sentier de l’Évolution et comme la période où l’homme, par l’expérience devient conscient de soi. C’est le stade dans lequel il s’engage sciemment à imposer la volonté de l’âme (qui est essentiellement la volonté de Dieu) à la nature inférieure. Sur ce Sentier, il se soumet à un processus forcé, afin que la fleur de l’âme puisse s’épanouir plus rapidement. Le caractère inéluctable de la perfection de l’homme est à la base de sa volonté de fouler le Sentier. […] C’est un processus d’épuration, de sublimation et de transmutation, poursuivi avec fermeté jusqu’à ce que le Mont de la Transfiguration et de l’Illumination soit atteint. Les mystères et les forces cachées latentes en l’être humain doivent être découverts et utilisés d’une manière divine et selon le dessein divin, compris avec intelligence. » (A.A. Bailey – Les Travaux d’Hercule [25@3])

Le Sentier, qui conduit à la Victoire, a été parcouru par les Maîtres de Sagesse, Frères Aînés de l’humanité.

« […] cette Hiérarchie est composée de ceux qui ont vaincu la matière et qui sont parvenus au but en parcourant exactement les mêmes étapes que les individus ont à franchir aujourd’hui. Ces personnalités spirituelles, ces adeptes et ces Maîtres ont lutté et combattu pour la victoire et la maîtrise sur le plan physique, se sont débattus dans les miasmes, les brouillards, les dangers, les difficultés, les souffrances et les peines de la vie journalière. Ils ont parcouru pas à pas le sentier de douleur, ont passé par toutes les expériences, ont surmonté toutes les difficultés et ont vaincu. Ces Frères Aînés de la race ont chacun dû subir la crucifixion du moi personnel, et connaissent cet ultime et total renoncement, qui est, à son heure, le lot de chaque aspirant. Il n’est aucune agonie, aucun sacrifice déchirant, aucune via dolorosa qu’ils n’aient eus à traverser en Leur temps, et c’est en cela que résident leur droit de servir, et la force de Leur appel. Connaissant la quintessence de la douleur, la profondeur du péché et de la souffrance, Leurs méthodes peuvent être exactement adaptées au besoin de l’individu ; en même temps, sachant que la libération s’achète au prix de souffrances et du sacrifice de la forme au moyen des feux purificateurs, ils peuvent agir d’une main ferme, persévérer même quand la forme semble avoir subi une pleine mesure de souffrance, et leur amour triomphe de tous les échecs, parce qu’il est fondé sur la patience et l’expérience. Ces Frères Aînés de l’humanité sont caractérisés par un amour qui ne se lasse jamais, et qui agit toujours pour le bien du groupe ; par une connaissance qui a été acquise à travers un millier de vies au cours desquelles Ils ont parcouru la voie de l’évolution depuis le début presque jusqu’au sommet ; par une expérience basée sur le temps lui-même et acquise à travers une multiplicité de réactions et d’interactions personnelles ; par un courage qui est le résultat de cette expérience et qui, étant le fruit de siècles d’effort, d’échecs et d’efforts renouvelés, et ayant finalement mené à la victoire, peut être maintenant mis au service de la race ; par une détermination éclairée et intelligente, coopérative et qui s’adapte au groupe et au plan hiérarchique, s’harmonisant ainsi au but du Logos Planétaire ; enfin, Ils se distinguent par la connaissance du pouvoir du son. Ce dernier fait est à la base de cet aphorisme qui affirme que tous les véritables occultistes se reconnaissent par leur connaissance, leur volonté dynamique, leur courage et leur silence. « Savoir, vouloir, oser et se taire ». Connaissant parfaitement le plan et possédant une vision claire et illuminée, Ils peuvent dédier Leur volonté déterminée et inébranlable au grand travail de création par le pouvoir du son. C’est ce qui Les incite à se taire lorsqu’un homme ordinaire parlerait et à parler lorsque celui-ci se tait. (A.A. Bailey – Initiation humaine et solaire [1@34])

« C’est en tant qu’homme, que le Christ remporta la victoire. Nous pouvons donc en faire de même. C’est sur ce triomphe de l’âme sur la matière, et du réel sur l’irréel, que le Christ porta témoignage lors de son expérience dans le désert, et c’est vers le même but que se dirigent tous ceux qui suivent Ses pas. Son triomphe sera le nôtre, lorsque nous affronterons le problème du mal dans le même esprit que Lui, c’est-à-dire en projetant sur lui la lumière de l’âme et en nous appuyant sur nos expériences passées. » (A. A. Bailey – De Bethléem au Calvaire [22@110])

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Les difficultés du sentier de la Victoire.

« L’impersonnalité, particulièrement chez les personnes déjà hautement intégrées, est spécialement difficile à réaliser. Il y a un rapport étroit entre l’impersonnalité et le détachement. Étudiez-le. Beaucoup d’idées chères, de qualités durement acquises, de vertus longuement cultivées et de croyances formulées avec force s’opposent à l’impersonnalité. Il est difficile pour le disciple, au début de son entraînement, de maintenir fermement ses propres idéaux et de poursuivre intensément sa propre intégration spirituelle et de rester pourtant orienté vers les autres d’une manière impersonnelle. Il voudrait qu’on se rende compte de son combat et de sa victoire ; il aspire à voir la lumière qu’il a allumée opérer une réaction chez les autres ; il désire être reconnu comme disciple ; il brûle de montrer son pouvoir et sa nature aimante très développée de manière à pouvoir susciter l’admiration ou, au moins, l’encouragement. Mais rien ne se produit. On ne le considère pas comme meilleur que ses frères ; la vie, alors, devient décevante. » (A.A. Bailey – L’état de disciple dans le Nouvel Âge I [5@49])

« Ce qui précède résume simplement la tâche qui attend chacun de vous qui cherchez à nous aider dans notre travail ; à cette tâche je vous appelle, vous et tous ceux qui sont associés à moi. Les murs des difficultés doivent tomber et le succès doit récompenser l’effort-poussée d’âmes unies et déterminées qui s’ouvrent le chemin vers la victoire malgré de réelles forces contraires. Cet effort unifié et déterminé doit être poursuivi sans découragement et sans doutes possibles, avec un sentiment d’urgence et en accordant une attention particulière au facteur temps. Ainsi seront équilibrées toutes vaines actions et pourront être saisies toutes les opportunités. Beaucoup de personnes vous donneront leur coopération, mon frère, qui pour le moment hésitent à vous la donner, soit sous l’empire de la crainte ou par le fait que l’accent est placé sur des éléments non essentiels. Je me réfère ici aux hommes de bonne volonté qui sont aujourd’hui conscients de l’urgence que présente le travail du Maître, mais qui pourtant n’accordent par leur aide pleine et entière. Il en existe également qui ne comprennent pas cette urgence et qui ne sont pas conscients de l’importance du Plan ni même de son existence. Confrontés par les circonstances, ils donneront cependant leur aide. » (A.A. Bailey – L’état de disciple dans le Nouvel Âge I [5@167])

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Mais la victoire n’est jamais assurée définitivement :

« Il faut apprendre à ne pas gaspiller le travail. La dispersion de l’esprit mène à la négligence des affaires les plus importantes. Voyez comment l’essentiel manque dans les deux lettres que vous avez reçues. Je ne le reproche pas tant à leurs auteurs qu’à ceux qui les ont remplis de confusion. Une telle insouciance pour les choses les plus importantes est fatale. Une personne qui trouble la conscience de ses semblables commet une faute grave. Elle ne pourra pas non plus vivre heureuse. Au contraire, son existence s’assombrira, car sa conscience s’égare dans ce qui n’est pas essentiel. Savoir discerner et se concentrer sur l’essentiel, c’est être sur le chemin de la victoire. Mais perdre ce chemin, c’est devenir une pierre au cou de ses semblables. » (Monde de Feu, volume 1, no 146).

« Habituons-nous au combat sans fin et essayons de l’aimer. Chaque atome du Cosmos se bat ! Quand une victoire est acquise, nous devons être prêts pour la suivante, plus grande encore, car nos actions grandissent proportionnellement à l’expansion de notre conscience, et la bataille s’élargit et suscite plus de responsabilités. Cette bataille sans fin prend place dans l’ensemble du Cosmos et nous tous, sur les plans visible et invisible, y prenons part. Il est grand temps de réaliser cela, car c’est en le comprenant bien et en fortifiant notre esprit que nous deviendrons de véritables vainqueurs. Guidés par la plus Haute Sagesse qui nous indique la juste direction, nous traverserons tous les abîmes ! Et sans être éblouis par une telle vision, nous pourrons alors porter un regard joyeux et lumineux vers le futur. » (E. Roerich – Lettres I – lettre 8 – 15 janvier 1930)

« Pouvons-nous réduire la bataille à une seule victoire ? Un échec apparent est à la racine même de la réussite. Celle-ci ressemble à des pétales multicolores ; mais incisez les racines, car là coule la sève de la puissance. Je suggère de regarder le pouvoir comme le catalyseur de l’expérience. Nous sommes de nouveau dans le jardin de la vie où l’expérience assure l’accomplissement. » (Agni Yoga – 160.)

« Aux jours de la victoire, je souhaite vous féliciter et vous préparer pour des batailles nouvelles et plus ardentes encore ! Aux jours de la victoire, je souhaite vous remettre en mémoire les paroles du Maître : « Apprenez à connaître la sensation forte que procure la bataille. » Aux jours de la victoire, examinons soigneusement nos armes et préparons nos boucliers, car notre ennemi se tient prêt. Il observe de ses yeux perçants nos faiblesses pour nous atteindre à travers elles. Il sait combien une victoire berce l’entendement et diminue l’effort et la vigilance.

C’est pourquoi après une victoire, nous devons redoubler de vigilance pour faire face à la prochaine bataille qui sera plus grande encore, tout comme la victoire. Un relâchement de l’effort mène à la défaite. Seule une conscience élargie se rendra véritablement compte du danger que représente une vigilance moins alerte suite aux premières victoires.

C’est pourquoi nous devons nous efforcer d’acquérir la joie d’une vigilance continuelle et d’un effort soutenu. Ces deux qualités participent aux fondations de l’Enseignement et de la vie. Seul l’effort nous conduit vers l’étape suivante. Seule la vigilance nous permet de surmonter avec succès tous les obstacles. L’Instructeur nous appelle à un travail urgent pour l’amour de la victoire. Chaque victoire dépend de la tension de notre effort. Aussi, lorsque l’effort se relâche, soit à cause de la myopie résultant de notre conscience limitée, ou encore par mésentente et manque de coordination entre les combattants, la défaite est inévitable. Par conséquent, je vous demande de ne pas vous laisser affaiblir par des dissensions internes lorsque vous approchez un passage dangereux. Il est également périlleux de vous pousser, car celui qui pousse risque fort de partager le sort de celui qui est poussé. » (E. Roerich – LETTRE 15 -17 décembre 1930)

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La volonté de victoire

« Ce qu’il faut actuellement, c’est la volonté de victoire ; c’est la volonté d’invoquer qui est nécessaire ; c’est la volonté-de-se-centrer et par cela d’aider au grand acte d’invocation pour lequel le Christ est en train de se préparer ; c’est la volonté-de-bonté, de maîtrise-de-soi, d’évocation de l’action juste, que la Hiérarchie demande aujourd’hui. Si l’humanité fait sa part, elle trouvera la Hiérarchie plus qu’empressée à répondre et à accomplir sa part pour libérer le monde des forces du mal. » (A.A. Bailey – Extériorisation de la Hiérarchie [13@353])

« Tout accomplissement dirigé vers le progrès est soutenu par la Volonté Supérieure, puissance dynamique de direction qui imprègne l’humanité dans tous ses efforts. Ceci devient manifeste pour le disciple lorsqu’il a établi la corrélation entre la Volonté Supérieure et sa propre volonté qui résulte d’une assimilation ressentie dans le cœur. Un lien direct se révèle entre le disciple et le Hiérarchie dont la puissance est sous-jacente au fil d’argent. Ne cherchez pas ailleurs la garantie des meilleurs résultats. La victoire réside dans l’accomplissement de la Volonté Supérieure. » (Hiérarchie – 455)

« La loi de la Volonté Supérieure crée toute action conforme au but. Cette loi sature l’espace et seul l’accomplissement de la Volonté Supérieure suscite une fin heureuse à nos actions. Comment est-il possible de refuser une Indication de la Volonté Supérieure sans compromettre la victoire ? Comment est-il possible de trouver de meilleures façons de faire lorsque le Bouclier de l’Instructeur est soutenu et assuré par la Hiérarchie ? Ceux qui exécutent la Volonté de la Hiérarchie conduisent à la victoire. En conséquence, les disciples doivent appliquer les efforts les plus méticuleux pour réaliser la Volonté Supérieure. C’est la seule façon de réussir et c’est également la seule façon d’assurer la victoire. » (E. Roerich -Lettre 17 – 15 janvier 1931)

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La joie de la Victoire

« L’inattendu est le frère de la mobilité. La mobilité est la sœur de l’accomplissement. L’accomplissement est le frère de la victoire. Car chaque accomplissement contient en lui-même une victoire ; peut-être une victoire invisible, mais de celles qui remuent des étendues profondes. » (Feuilles du Jardin de Morya – vol II – Illumination– 315)

 « Réjouissons-nous de la victoire. Les hommes ne la verront pas avant un certain temps, mais elle est déjà là. Attendez, impatients, c’est le cœur qui détermine la victoire, et non l’œil. Lorsqu’une structure de feu est déjà réalisée dans le Monde Subtil, le cœur des constructeurs peut se réjouir. Ceux qui dorment ne sentent rien s’ils sont transportés hors de la maison, mais l’espace chante déjà. » (Monde de Feu, volume 3, no 485).

 « Ceux qui luttent et persistent vaillamment se réjouissent quand l’idée se matérialise. La joie sera vôtre quand, les ténèbres vaincues, vous verrez la lumière ; ce sera la joie d’avoir trouvé les compagnons fidèles, car, pendant les années de travail, vous aurez compris qui sont vos collaborateurs sûrs avec lesquels vous avez établi un lien solide qui se forme par les souffrances partagées. La joie de la paix après la victoire sera vôtre, car au guerrier fatigué, les fruits de l’accomplissement et du repos seront doux. Vôtre aussi la joie de participer au plan des Maîtres, car ce qui vous lie à eux est bon ; joie encore d’avoir aidé à soulager les souffrances du monde, d’avoir apporté la lumière à des âmes dans les ténèbres, d’avoir guéri, en quelque mesure, les blessures d’une humanité dans la détresse. De la conscience d’avoir bien employé son temps, de la gratitude des âmes sauvées naît la plus profonde joie, joie que connaît le Maître quand Il a pu aider un frère à monter d’un degré sur l’échelle de l’évolution. C’est la joie qui vous attend et qui est à la portée de tous. Travaillez donc non pour la joie, mais vers la joie, par un besoin intérieur d’aider, non pour obtenir la gratitude, mais parce que vous avez perçu la vision et que vous réalisez le rôle que vous devez jouer pour amener cette vision en manifestation ici-bas. »  (A.A. Bailey – Traité sur la Magie Blanche [4@369])

« Écoutez le joyeux chant de victoire que j’entonne : le travail est accompli. Mon oreille est sourde à tous les appels de la terre, excepté à cette petite voix de toutes les âmes cachées dans les formes extérieures, car elles sont comme moi-même ; avec elles je suis en union totale. »

« La voix de Dieu résonne avec clarté ; dans ses notes et son harmonie, les petites voix des petites formes diminuent et s’évanouissent. Je demeure au sein d’un monde d’unité. Je sais que toutes les âmes sont une. »

« Je suis entraîné par la Vie universelle, et, étant porté en avant sur mon chemin, le chemin de Dieu, je vois mourir toutes les énergies plus petites. Je suis l’Unique ; Moi, Dieu. Je suis la forme en laquelle se fondent toutes les formes. Je suis l’âme en laquelle fusionnent toutes les âmes. Je suis la Vie, et dans cette Vie, toutes les petites vies demeurent. » (A.A. Bailey –L’état de Disciple dans le Nouvel Âge – vol I – [5@679])

« Nous affirmons bien des choses et la tension cosmique amènera ce qui est prédestiné. Ceux qui se sont consacrés doivent vaincre ; Notre victoire mondiale est irrévocable, ce qui est prédestiné par la Fraternité doit s’accomplir, la joie résonne. Je l’ai dit – Je le garantis – Je vois la victoire ! Oui ! Oui ! Oui ! Durant les heures difficiles l’ascension transforme l’échec en succès. Ainsi rappelons-nous : Victoire et Joie ! La nouvelle étape est prédestinée par l’Aimant Cosmique. » (Infinité II – 100)

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« Va chercher la lumière pour qu’elle se manifeste dans les ténèbres.

Le pur fera preuve de compréhension du Bouclier, car Dieu est avec Nous !

Par Ses manifestations éternelles pénètrent des gouttes du Monde Sacré.

Considère que le trésor de ces gouttes et les étincelles de la conscience relieront le Ciel et la Terre en un nouveau pont.

Nous affirmant dans l’illumination des étincelles,

Trouvons un sourire.

Mais la maîtrise se confirme par la réalisation de la victoire sur soi-même.

En conquérant le soi, le vainqueur surgira.

Sonnez donc haut et clair le clairon de la victoire,

Car Dieu est avec Nous. »

(Les Feuilles du Jardin de Morya – L’appel 437)


[1] En réponse à l’Accord de l’année, 6.1 Ésotérisme de la Nouvelle Religion Mondiale » dont la Formule vers 2025 est : J’appelle à la Vérité centrale, nous traitons aujourd’hui de la Vérité de.

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