Choix… Destin de la Terre

Santé, Sagesse, Service, Sainteté, Salut, Sauvegarde, Sérénité, Sacrifice, Silence, Soleil…. qu’elles sont belles et puissantes ces semences de Feu …porteuses de l’Essence même de toute Guérison et d’Evolution !

Elles sont le Remède à la maladie que traverse et engendre l’humanité, elles sont la joie de la nouvelle conscience qui se déploie…Elles sont le Sentier qui conduit à la vraie Vie, lumineuse et créatrice de beauté et d’harmonie.

 « Il est temps de penser à l’hygiène de l’esprit. L’hygiène du corps n’est pas aussi importante que l’hygiène de l’esprit. Ni vitamine, ni piqûre, ni vaccin ne sauveront ceux dont l’énergie psychique est épuisée ou engourdie. La compréhension de la profonde signification du mot « service », du grand service, des grandes actions l’amour de l’humanité est tellement essentielle1… »

En vérité, l’esprit de l’homme jouera le rôle de détonateur pour les volcans [et toutes sortes de calamités]. […] la destinée de la planète est entre les mains de l’homme, et c’est l’homme lui-même qui provoque les tremblements de terre. […] ce sont justement les pensées basses et les désirs maladifs des hommes – non seulement sur Terre mais également dans les sphères inférieures du Monde Subtil – qui créent cette atmosphère dangereuse et suffocante autour de la planète et qui favorisent la fusion du feu de l’espace avec le feu souterrain. Seules les âmes pures et ardentes réussissent à neutraliser cette atmosphère, jouant en quelque sorte le rôle de paratonnerre. C’est la raison pour laquelle l’époque de Feu est si dangereuse. Elle apporte aussi bien la purification que d’épouvantable désastres, à savoir la totale destruction de collectivités corrompues et une augmentation des épidémies – tout cela étant causé par le feu souterrain. Ceux dont l’aura est suffisamment pure et qui peuvent assimiler le feu de l’espace seront les seul à pouvoir résister. C’est la raison pour laquelle il est tellement urgent d’appliquer dans nos vies les bases de l’Ethique Vivante et de transmuter nos énergies par la pureté des pensées et des actes2.

Les lois cosmiques sont immuables, et tout ce qui n’arrive pas à avancer en harmonie avec les transformations évolutives est détruit. […] Les gens devraient essayer de comprendre ce qui se passe sur la planète3.

[…] Je tiens à vous rappeler que l’Ere Nouvelle arrive d’une façon absolument inévitable. Les énergies de Feu, dans leur tension la plus grande, sont attirées vers la Terre et si elles ne sont pas acceptées, réalisées ou assimilées, elles vont causer de terrible tremblement de terre et d’autres perturbations cosmiques, ainsi que des révolutions, des guerres et de nouvelles épidémies. Nous sommes vraiment au seuil de l’Ere Nouvelle. […]

Soyez aux aguets de tous les signes insolites et destructeurs dans tous les domaines de la vie et bien des choses trouveront leur explication. Vous découvrirez où se trouvent les étincelles de l’Ere Nouvelle, l’ère de la connaissance spirituelle et de la grande coopération des peuples sous le signe de la culture. La réalisation de cette grande période qui approche devrait multiplier la force de chaque personne sensible et la guider vers un travail joyeux et constructif pour le Bien Commun sous la bannière que nous appellerons la « Bannière de la Paix et de la Culture4 ».

L’humanité doit de façon urgente apprendre les deux grands concepts : Tolérance et Coopération. C’est en ce fondant sur ces deux idées majeures que se bâtira l’Ere Nouvelle5.

Le cœur qui s’est consacré à la droiture rayonne continuellement la bienveillance, indépendamment de ses envois volontaires. Le Soleil dispense ses rayons naturellement. Le cœur qui s’est consacré au mal lancera des flèches, consciemment, inconsciemment et continuellement. Un cœur de bonté répand autour de lui santé, sourires et félicité spirituelle. Un cœur mauvais détruit la chaleur et, tel un vampire, aspire toute force vitale. Ainsi l’activité des cœurs, bons ou mauvais, est incessante. Sur le plan inférieur de l’Etre, les conditions du bien et du mal diffèrent de leur signification dans le Monde Suprême. On peut visualiser une fournaise brillante de Lumière et une crevasse béante d’obscurité. En un spectacle terrifiant, s’entrechoquent les épées des Archanges avec celles des démons ! Parmi les éclairs de la bataille, combien de cœurs seront attirés vers la Lumière et combien vers les ténèbres6 ?

 La Terre elle-même est encore pleine de richesses inépuisables. Il est possible de fortifier la planète en améliorant sa santé. Parmi les conditions de salubrité sur Terre, n’oublions pas d’inclure la Grandeur Supérieure. Ainsi s’établira le véritable équilibre7.

*Notes : Causes des maladies et disharmonies.

Cette cause est enfouie dans l’histoire du passé lointain de notre planète, dans la carrière (ésotériquement comprise) de la Vie planétaire, et elle a ses racines dans ce qu’on appelle en termes généraux le “mal cosmique”. Cette phrase est parfaitement dépourvue de sens, mais décrit symboliquement une condition dans la conscience qui est celle de certains “Dieux imparfaits”. Posant en prémisse que la Divinité elle-même s’achemine vers une perfection dont la compréhension nous dépasse, on peut en inférer la possibilité qu’il existe pour les Dieux eux-mêmes et pour DIEU (considéré comme la VIE du système solaire) certaines limitations et certains états ou zones de conscience qui attendent encore d’être dominés. Ces limitations et imperfections relatives peuvent causer des effets définis dans Leurs corps de manifestation qui sont les diverses planètes exprimant des Vies, et le système solaire exprimant une VIE. Etant donnée aussi l’hypothèse que ces corps extérieurs de divinité, les planètes, sont les formes par lesquelles certains Dieux s’expriment, il est possible que la déduction suivante soit vraie et logique. Toutes les vies et formes contenues dans ces corps peuvent être nécessairement assujetties à ces limitations et aux imperfections issues de ces zones de conscience non encore dominées et de ces états de conscience encore incompris par les Divinités incarnées sous forme planétaire et solaire. Etant donné le postulat que toute forme est parcelle d’une forme encore plus grande, et qu’en vérité “nous vivons, et nous nous mouvons, et nous existons” dans le corps de Dieu (comme le dit saint Paul), nous participons à cette imperfection et à cette limitation générale en tant que parties intégrales du quatrième règne de la nature

Il vaut certainement mieux admettre l’impossibilité pour l’homme de comprendre les causes profondes et ultimes de ce qu’il voit émerger dans l’évolution de la vie des formes. La sagesse ne commande-t-elle pas de faire face aux évidences et aux faits, tels qu’ils apparaissent à notre entendement présent ? De même que l’homme peut entrer dans la pensée de Dieu plus intelligemment qu’un animal, comprenons qu’il peut exister d’autres et de plus grands Penseurs que nous, opérant dans des domaines supérieurs de la nature, et qui perçoivent certainement sur la vie des vérités et des précisions étrangères à notre humanité. Il est possible que le but de l’évolution, tel que l’homme le décrit et l’accentue, ne soit en dernière analyse qu’un petit fragment d’un objectif plus grand, incompréhensible pour les facultés limites de l’homme actuel…

Toute maladie (et ceci est un lieu commun) provient d’un manque d’harmonie, d’une dissonance existant entre l’aspect forme et la vie. Nous appelons âme ce qui rapproche la forme et la vie, ou plutôt ce qui est le résultat de cette union projetée. En ce qui concerne l’humanité, c’est le “moi”, et en ce qui concerne les domaines subhumains, c’est le principe intégrateur. La maladie apparaît lorsqu’il y a défaut d’ajustement entre ces divers facteurs, l’âme et la forme, la vie et son expression, les réalités subjective et objective. En conséquence, l’esprit et la matière ne sont pas reliés librement l’un à l’autre. (La Guérison Esotérique, p. 10/12 éd. angl.)

…. Quand l’homme agit comme âme, il devient guérisseur ; il stimule et donne la vie ; il transmet les forces spirituelles de l’univers et sert de barrière à l’afflux d’émanations nocives et de forces destructives. Le mal et ses effets se servent de l’humanité, non encore parfaite, comme canal de transmission. La fonction de l’humanité est de transmettre et de manipuler la force. (Traité sur la Magie Blanche, p. 99)


 1 Lettres d’Elena Roerich- Vol I, p194
2 Lettres d’Elena Roerich- Vol I, p233
3Lettres d’Elena Roerich- Vol I, p 234
4 Lettres d’Elena Roerich- Vol I, p151/152
5 Lettres d’Elena Roerich- Vol I, p 464
6 Cœur 63 Série -Agni Yoga
7 AUM 138 -Agni Yoga
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