Dans la partie intitulée Le Flux Sanguin cosmique [1], nous avons étudié le système circulatoire divin de l’ESPACE, et dans celle intitulée Maçonnerie Electrique : Construction du le Temple de Carbone [2], nous avons vu comment le Logos Solaire construit, à partir de ce qui l’entoure, le palais du feu vivant. On peut considérer, assez significativement, qu’il ressort de ces exposés, le processus de création qui est à l’œuvre dans le macrocosme et le microcosme.
Nous avons vu que la nature peut être vue comme six forces se synthétisant en une « force-totale », symbolisé par « l’hexagone composé de six triangles, dont les sommets convergent vers un même point : formant le symbole de la Création Universelle. » [3]
On voit également ces forces de création universelle représentées dans « la Fleur de Vie » (illustration du haut) qui est une figure de géométrique sacrée basée sur les cercles se chevauchant et régulièrement espacés, formant au final, une grande fleur composée de plus petites. Du centre de chaque petite fleur s’étirent six pétales représentant les six forces de la nature -chaque pétale s’étendant jusqu’au périmètre du cercle qui les renferme, étant la « force-totale » de synthèse de la figure d’ensemble. Le centre de chaque petite fleur étant sur la circonférence de trois ou six autres fleurs (selon que la fleur en question se trouve sur le bord ou pas de la figure totale), l’ensemble présente les caractères de la perfection de forme, de proportion et d’harmonie. La Fleur de Vie représente donc les forces fondamentales de génération de l’œuvre de juste relation entre toutes choses, dans le temps et l’espace.
Considérée du point de vue des sept rayons de la vie, la « force-totale » de synthèse dans ce système solaire est le rayon d’Amour-Sagesse qui guide selon un processus spiralaire, les six autres forces dans leurs activités constructives. Sur le plan physique, ce mode opératoire spiralaire est très réellement celui de la force électrique organisatrice du rayon de l’Ordre Cérémoniel. Les rayons 2 et 7 peuvent être vus par conséquent, comme structurant ces gigantesques configurations électriques bi-hélicoïdales qui prolifèrent dans tous le cosmos pour fournir la puissance nécessaire à la génération et la formation des galaxies et des étoiles.[1]
(Ci-dessus, image de droite) Courant de Birkeland dans leur descente à travers une région générative, s’accaparant les qualités déviques de la substance vivante pour former des galaxies, des étoiles et des planètes. De plus amples informations sur les courants de Birkeland sont sur le site, rubrique Le Pont Électrique. [4]
(Ci-dessus, image de gauche) Les courants de Birkeland assemblés en deux filaments parallèles, commencent à tourner en formant des tresses hélicoïdales. En vue – de – dessous, le mouvement de rotation des filaments, autour d’un axe central commun, forme un cylindre dans lequel une tension électrique considérable est générée se décomposant en tourbillons nommés instabilités Diocotron qui ont tendance à prendre une forme hexagonale.
Vue -de-dessus, dans l’axe du cylindre, d’un courant de Birkeland générant des instabilités Diocotron.
Les instabilités Diocotron furent découvertes au tournant du 19e siècle, lorsque Kristian Birkeland photographia des faisceaux de particules passant à travers un faible vide. Il émit une interpénétration plus crédible que celle impliquant la dynamique des fluides, en remarquant qu’au pôle Nord de la géante gazeuse Saturne, on peut voir un motif hexagonal et que les motifs géométriques similaires sont également visibles sur d’autres lunes et planètes rocheuses du système solaire.
Mimas
NE Mare Nubium -La Lune
De tels motifs forment des cratères repérables à leurs surfaces, qui, avec d’autres caractéristiques, sont reproductibles en laboratoire par des machines industrielles à décharge électrique ; ces cratères hexagonaux restent difficiles à expliquer sauf si l’on admettait que l’électricité peut-être active universellement.
Cratères produits en laboratoire à l’aide d’arcs électriques, par le physicien des plasmas C.J. Ransom.
A ce jour, le principe de formation dans le cosmos, de phénomènes hexagonaux par tension électrique et décharges subséquentes, n’est pas reconnu en astrophysique classique. Toutefois, des preuves allant dans ce sens, ne cessent d’apparaître, pouvant faire qu’à terme, il deviendra nécessaire de repenser en profondeur, la nature du Big Bang, le modèle gravitationnel cosmique avec les théories associées à la relativité générale, mais aussi les trous noirs, la matière noire et l’énergie sombre. Ces fondamentaux du modèle gravitationnel classique ne sont pas nécessairement requis dans la compréhension d’un univers électrique. C’est la tension électrique impliquée dans la Circulation Sanguine de l’Espace Cosmique qui produit toutes sortes de phénomènes spatiaux, étant construits sur la géométrie à base hexagonale de la Fleur de vie. La recherche actuelle montre que ce processus est également à l’œuvre dans l’eau, dont la surface s’organise électriquement selon une structure hexagonale transportant des informations vers son environnement, y compris vers l’ADN et vers toutes les chaînes de protéines qui construisent toutes les formes de vie terrestre. Ceci sera exploré dans la partie 2. La partie 3 examinera comment les cerveaux des mammifères fonctionnent, à de nombreux niveaux, via une fractale de structure hexagonale et en quoi cette structuration traduit les pensées en signaux électriques dans le cortex cérébral.
[1]. Le système sanguin cosmique Électricité Plasma et Flux Circulatoire Divin
[2]. Bâtir le Temple de Carbone
[3]. HP Blavatsky nous dit : Il y a six Forces dans la Nature…et la septième – la Force totale, ou Force absolue, qui est la synthèse de toutes ».
[4]. /www.lucistrust.org/fr/the_electric_bridge/the_electric_gods