La loi du libre-arbitre ne permet pas d’arrêter le crime à sa conception. Mais la loi de justice fournit la possibilité d’arrêter le développement du mal ; ce qui est en bas est comme ce qui est en haut. On ne peut empêcher le surgissement de pensées criminelles, mais le cœur dirigera vers le lieu où le mal peut déjà germer. C’est pourquoi Nous insistons tant sur l’Enseignement du Cœur. Nul autre centre ne remplace l’essence du cœur. Les accumulations des siècles dans le Calice sont à la disposition du cœur. Car le salut de l’humanité ne consiste pas en siddhis [pouvoirs] séparés mais dans la grande force motrice centrale : le cœur. Par-delà toutes les divisions, venons-en à la racine du mouvement.
Coeur §545, Agni Yoga Society
